ABSTRACT

Je vais tout de suite au pire. Qu’en mars 1942, on nomme Maurras (alors, en plus, que rien n’appelle ici un tel nom), c’est detestable et sans excuse. Je sais bien qu’il ne s’agit pas du personnage malfaisant de l’époque, mais du lointain disciple d’Auguste Comte, qui-trente ans plus tôt-se recommande, a l’imitation de son maître, d’une observation des faits sociaux, étrangère a tout dogmatisme, et proche de la science ou d’une certaine science.