ABSTRACT

Notre propos est, ici, non pas de répertorier tous les genres littéraires représentés dans l’ensemble du monde peul (Seydou 1973), ni d’en signaler les oeuvres les plus illustres, mais bien plutôt de tenter de situer un certain nombre de problèmes créés par l’originalité même de cette littérature dans sa multiple diversité. Pour ce faire, nous allons envisager trois situations-types que l’on peut considérer comme exemplaires parce qu’extrêmes: celle d’un genre universel tel que le conte; celle de genres totalement empruntés; celle, enfin, au contraire, de genres originaux, cultivés par les seuls Peul pasteurs.