ABSTRACT

Under the Japan-UK research project ‘Low-Carbon Society (LCS) Scenarios Towards 2050’, an international modelling comparison was undertaken by nine national teams, with a strong developing-country focus. Core model runs were a Base case, a Carbon price case (rising to $100/tCO2 by 2050) and a Carbon-plus case to investigate an LCS scenario with a 50% reduction in global CO2 emissions by 2050. The comparison emphasis was to focus on individual model strengths (notably technological change, international emissions trading, non-price (sustainable development) mechanisms and behavioural change) rather than a common integrated assumption set. A complex picture of long-term LCS scenarios comes from the range of model types and geographical scale (global vs. national); however, common themes for policy makers do emerge. A core finding is that LCS scenarios are technologically feasible. However, preferred pathways require clear and early target setting and incorporation of emissions targets across all economic activities. This will probably entail significant socio-economic changes. To realize major LCS transitions requires sustained progress in RampentityD and deployment of a broad range of technologies, with carbon capture and storage (CCS) a key technology in most low-carbon portfolios. Developing countries, in particular, face an immense challenge to achieve LCS in light of their economic growth requirements. As such, international cooperation is required in iterative and flexible burden sharing under international emissions trading regimes.

Dans le cadre du projet de recherche Japon-Royaume-Uni de scénarios de société sobre en carbone à l’horizon 2050 “Low-Carbon Society (LCS) Scenarios Towards 2050”, une comparaison internationale des modélisations fut entreprise par neuf équipes nationales, avec une forte représentation des pays en développement. Les simulations principales comprenaient un « cas de référence », un cas « prix du carbone » (allant à $100/tCO2 d’ici 2050) et un cas « carbone plus » pour l’examen d’une LCS de 50% de réduction des émissions mondiales de CO2 d’ici 2050. L’accent de la comparaison fut porté sur les forces individuelles de chaque modèle (notamment le changement technologique, l’échange international d’émissions, les mécanismes hors-prix (développement durable), et les changements de comportement), plutôt que sur une série intégrée d’hypothèses collectives. Une image complexe de scénarios LCS à long-terme émerge des différents types de modèles et de l’échelle géographique (mondiale ou nationale), cependant des thèmes communs pour les décideurs font sont révélés. Une conclusion clé est la faisabilité technique des scénarios LCS. Cependant il est nécessaire de mettre en place les objectifs de manière claire et assez tôt pour favoriser les axes préférés ainsi que l’intégration d’objectifs d’émissions à travers toutes les activités économiques. Ceci entraînera probablement des changements socio-économiques. Dans le but d’obtenir de larges transitions LCS, un progrès soutenu est nécessaire en recherche et développement et par le déploiement d’un large éventail de technologies, la capture et le stockage de carbone (CSC) étant une technologie clé dans la plupart des portefeuilles sobres en carbone. Les pays en développement en particulier font face à un défi énorme quant à la réalisation de LCS du fait de 18leurs besoins en croissance économique. Ainsi, une coopération internationale est nécessaire selon un « burden sharing » itératif et flexible dans le cadre d’un régime international d’échange de quotas .