ABSTRACT

One of the first champions of the Impressionists, Theodore Duret (1838–1927) is also known as one of the first ‘japonisants’ or amateurs of Japanese arts. His authority was based on his experience. As a matter of fact, he was one of the first French civilians to visit Japan. 2 This privileged position is worth noting principally because it was Duret himself who affirmed as an eye-witness the Japanese influence on French Impressionists. In one of his essays entitled ‘Critique d’avant-garde’ (1885), we see Duret advance an analogy between Japanese Ukiyo-e prints and Impressionist paintings.

Il a fallu l’arrivée parmi nous des albums japonais pour que quelqu’un osat s’asseoir sur le bord ďune riviere, pour juxtaposer sur une toile un toit qui fût hardiment rouge (…) et de l’eau bleu. (…) Ces images japonaises (…) sont ďune fidélité frappante. (…) Je regarde un album japonais et je dis: oui c’est bien anisi, sous son atmosphère lumineuse et transparente, que la mer s’étend bleue et colorée (…) aussi a-t-il fortement influencé les Impressionistes. / L’oeil japonais, doué ďune acuité particuliere, exercée au sein ďune admirable lumière (…) a su voir dans le plein air une gamme de tons aigus que l’oeil européen n’y avait jamais vue et (…) n’y eût probablement jamais découverte (…). Claude Monet, parmi nos paysagistes, a eu le premier la hardiesse d’aller aussi loin qu’eux [les Japonais] dans ses coloration. 3