ABSTRACT

Que n’a-t-on dit ou écrit sur les templiers devenus banquiers ou sur un trésor (immense !) si bien caché qu’on le cherche encore. Les vieux procès ont la vie dure, et l’historien aura beau faire, il ne parviendra pas à les conclure ! C’est peut-être pour cela que, curieusement, les études sur le Temple et l’argent, le Temple et la richesse ou, mieux, la richesse du Temple sont si peu nombreuses, anciennes et bien souvent décevantes. L’historien est toujours tributaire des études de Hans Prutz, de Léopold Delisle, de Jules Piquet, à peine retouchées par le travail d’Ignacio de la Torre. 1