ABSTRACT

Merci, mon cher confrère, et éditeur (fût-ce en une autre occasion) de cette lettre écrite sur un ton de franchise charmante, ah! qu'il faudrait toujours employer, entre gens. Voilà. Je ne considère pas comme une première édition tout-à fait [sic] le tirage à part à quelques exemplaires de ma conférence sur Villiers publié lors de l'apparition dans une revue.3 Je compte en faire un petit livre, tout souvenir de lecture en public écarté, qui commencerait une série probable de portraits modernes: je n'ai rien d'autre absolument fait ou prêt. Une héliogravure en frontispice (à moins que je n'obtienne de quelque ami commun, cela se peut, une eau-forte) et, à la fin, un bel autographe. Oui, évidemment, j'envisage un droit d'auteur, quelconque: il ne serait pas moins ici de par exemple deux cents francs, pour une édition: un peu moins avec vous puisqu'on est de quelque façon en train. Mais si vous n'entrevoyez pas, je ne dis une affaire, ce ne sera jamais une, simplement une entreprise au moins rémunératrice, mettons que nous parlâmes d'autre chose et je demeure pour quelque circonstance à venir, cher Monsieur Lacomblez, votre dévoué