ABSTRACT

The recent Building Research & Information special issue titled ‘Comfort in a Lower Carbon Society’ has taken up, with subtlety and diversity, prospects for reducing the energy consumed in creating thermal comfort. As this excellent collection of papers shows, comfort quickly becomes ‘about nearly everything’, so the interdisciplinary discussions such as provided by the special issue are critical to understanding how comfort expectations and comfort provision might change. The following commentary draws out two lines of enquiry from this collection, both relating to everyday experiences of comfort and its acquisition. The first line explores evidence that people are not as thermally comfortable in their places of work as design values specify and as theory assumes. This leads to renewed questions about theory versus design, adaptation, relationships of thermal to other kinds of comfort, and expectations of workers as well as by them. More speculatively, it reflects briefly on how comfort works outside the workplace, in the car and finally at home. The second line explores the theme of expectations about proper conduct, energy-wise and otherwise, in an era of intensified climate change communications and conservation campaigns.

Le récent numéro spécial de Building Research & Information intitulé « Le confort dans une société sobre en carbone » s’est intéressé avec subtilité et diversité aux possibilités de réduire la consommation d’énergie en créant le confort thermique. Comme le montre cette excellente série d’articles, la notion de confort recouvre rapidement à peu près tout; aussi, les discussions pluridisciplinaires qui sont reprises dans ce numéro spécial, ont une importance critique pour comprendre comment peuvent changer les attentes en matière de confort et d’offre de confort. Ce commentaire définit deux axes de recherche qui se rapportent tous deux à l’expérience quotidienne du confort et à son acquisition. Le premier axe examine les preuves selon lesquelles les personnes ne jouissent pas d’autant de confort thermique sur leur lieu de travail que le spécifient les valeurs conceptuelles ou que le suppose la théorie. Cela conduit à reposer les questions concernant la théorie face à la conception, l’adaptation, les relations entre le confort thermique et les autres formes de confort et les attentes des travailleurs. De manière plus spéculative, cet axe indique brièvement comment le confort fonctionne à l’extérieur du lieu de travail, en voiture et enfin chez soi. Le second axe analyse le thème des attentes concernant la bonne conduite, sur le plan énergétique et autre, dans une période où s’intensifient les communications sur le changement climatique et les campagnes de préservation.