ABSTRACT
This commentary considers the recent Building Research & Information special issue titled ‘Comfort in a Lower Carbon Society’ and what it suggests about how to conduct contextual studies of thermal comfort. Firstly, consideration is given to the places within which comfort is examined and how research might beneficially trespass beyond the borders of the building to explore how lifestyles combine various places with a range of social expectations and techniques for managing personal temperature. Secondly, the suggestion is that whilst it could be worthwhile to examine various lifestyles, contextually sensitive researchers must select the groups they study carefully and acknowledge the limitations associated with this choice. Thirdly, it considers which practical methods are most appropriate for this line of research and how existing approaches could be supplemented by techniques currently uncommon in this field. The overall argument is that qualitative approaches with groups of current users could identify the most sensitive ways of steering societies towards more sustainable thermal futures.
Ce commentaire analyse le récent numéro spécial de Building Research & Information intitulé « Le confort dans une société sobre en carbone » et ce qu’il suggère sur la façon de mener des études contextuelles du confort thermique. L’auteur s’intéresse tout d’abord aux lieux où le confort est examiné et comment la recherche pourrait avantageusement dépasser les frontières du bâtiment pour voir comment les styles de vie combinent divers lieux avec une gamme d’attentes sociales et de techniques pour gérer la température personnelle. Puis, alors qu’il pourrait être intéressant d’examiner divers styles de vie, il suggère que les chercheurs sensibles au contexte sélectionnent des groupes qu’ils étudient avec soin et reconnaissent les limites associées à ce choix. Enfin, il considère les méthodes pratiques qui seraient les plus appropriées pour cette ligne de recherche et comment les approches existantes pourraient être complétées par des techniques qui sont actuellement rares dans ce domaine. L’argument général est que les approches qualitatives avec des groupes d’utilisateurs actuels pourraient jouer un rôle utile dans l’identification des solutions les plus judicieuses pour diriger les sociétés vers un avenir thermique plus durable.
