ABSTRACT

The 14-km2 Bonneville rock slide–debris avalanche temporarily dammed the Columbia River some 190–450 calendar yrs BP (AD1500–1760), forming a short-lived “land bridge” that Native Americans called the “bridge of the gods.” At this narrow site on the river, the U.S. Army Corps of Engineers in 1937 completed the 60-m-high, concrete-gravity, hydroelectric/navigation Bonneville Dam, using the toe of the landslide as the right abutment and for much of the foundation of the dam. During the 1970s, a second powerhouse for Bonneville Dam was constructed on a foundation excavated into the lower landslide. Construction of the dam, the second powerhouse, and appurtenant structures caused only minor “construction” slides and no major reactivation of the Bonneville landslide. Conversely, the right end of the dam serves as a “buttress” that helps to stabilize the toe of the landslide.

RÉSUMÉ: Le glissement rocheux–débris avalancheux des 14-km2 de Bonneville ont temporairement barré la rivière Columbia il y a entre 190 et 450 ans (AD1500–1760), formant un “pont du terre” provisoire que les Américains Natifs de cette région appellent “le pont des dieux.” En 1937, à cet endroit étroit de la rivière, le Corps des Ingénieurs de l’U.S. Armée ont achevé la construction d’un barrage poids béton de 60m de haut, ce barrage hydroélectrique est également navigable. L’extrémité du glissement a été utilisée comme appui de droite, et pour la majorité des fondations. Pendant les années 70, une seconde centrale hydroélectrique fut constuite reposant sur les fondations excavées dans la partie inférieure du glissement. La construction du barrage, de la deuxième centrale hydroélectrique et des structures annexes causèrent uniquement quelques petites coulées mais aucune réactivation majeure du glissement de Bonneville. Au contraire, la partie droite du barrage sert de “contrefort” et aide à la stabilisation de l’extrémité du glissement.