ABSTRACT

The work that people do can explain up to fifty percent of the observable variance in job satisfaction. Job satisfaction has, in turn, been shown to be related to speed and quality of work, absenteeism, turnover and mental health. Extensive psychological research has identified the core job characteristics that lead to employee satisfaction and these now form the background to numerous job enrichment approaches. Unfortunately none of this work has concentrated on the construction industry or used construction workers as subjects.

Limited research by construction academics in North America has been published though and suggests that construction work is inherently enriched because of its craft character and through working on a complete, visible structure. This view of construction work as a craft process is unrealistic and out of date in the current United Kingdom industry.

Furthermore there is a movement, likely to be strengthened by the recommendations of a recent government review of the industry, towards the increased use of prefabrication and standardisation in order to improve productivity. Work simplification in building will have unknown implications for the management of a workforce unaccustomed to such work;and for the quality of life of that workforce.

Given the lack of industry research in this area a personally focused, non-directive interview method was developed using repertory grid technique. This was used in a survey of fifty, largely subcontract construction tradesmen. The results identified eleven major categories of work experience that were associated with intrinsic job satisfaction.

620Le type de travail que les gens font permet d’expliquer jusqu’à 50% de la variance observable dans la satisfaction au travail. D’autre part, on a montré que la satisfaction au travail &tait liée à la vitesse et à la qualité du travail, et influence l’absentéisme, la rotation du personnel, et sa santé mentale.

Des recherches approfondies en psychologie ont identifié les caractéristiques essentielles du travail qui ménent à la satisfaction des employés, et celles-ci constituent à présent les données de base de nombreuses approches d’enrichissement du travail. Malheureusement, aucun de ces travaux ne se sont concentrés sur l’industrie du bâtiment et travaux publics (BTP), ou ont pris les ouvriers du BTP comme sujets d’étude.

Quelques recherches d’universitaires du BTP en Amérique du Nord ont cependant été publiées et suggérent que le travail dans le BTP est naturellement enrichi en raison de son caractére artisanal et par le fait que l’on en arrive à une structure visible et achevée. Cette conception du travail dans le BTP comme processus artisanal est peu réaliste et à présent dépassee dans l’industrie au Royaume Uni.

De plus, il y a un mouvement, susceptible d’être renforcé par les recommandations du gouvernement suite àun re-examen récent de l’industrie cherchant àaccroître l’utilisation d’àléments préfabriqués et standards afin d’ améliorer la productivité. La simplification du travail dans le bâtiment aura des implications imprévisibles sur la gestion d’une main d’oeuvre qui n’est pas habituée à catte façon de travailler et également sur la qualitéde vie de cette main d’oeuvre.

Etant donné le manque de recherche dans ce domaine, une méthode d’entretien non dirigé, centré sur la personne a été développée en utilisant une technique de grille de répertoires. Ceci a été utilisé lors d’une enquéte auprés de cinquante personnes du métier, principalement sous-traitants. Les résultats mettent en évidence onze catégories principales d’expériences de travail qui ont été associées à une intrinséque satisfaction au travail.