ABSTRACT
During the Iraqi invasion of Kuwait, large numbers of construction projects were subjected to considerable damages, ranging from looting and direct shelling to extensive fire damage. Both owners and contractors suffered significant losses. After liberation, the owners and contractors got together with their project consultants to restart these projects. Such reactivation must follow specific steps, the first of which is for the consultant to conduct a field survey to assess the project’s status and estimate the damage. He will also prepare the necessary construction documents required for damage repair and completion of the project to meet the original objectives. In Kuwait the most widely-used contract is the FIDIC; applying its Clause 65.3 of the FIDIC for Damages to Works by Special Risks, the consultant would issue the final payment to the contractor and close the project file. Following these stages the owner, using the new contract documents, can negotiate with the original contractor to resume work and finish the project, thus eliminating a series of potential problems such as mobilization, learning process, subcontractor continuity, and materials and supplies tracking if he had to invite a new contractor. A case study is presented to show this approach. If such negotiations are not successful, the new contract will be put up for tender.
697Pendant l’envahissement du Koweit par l’lraq, un grand nombre de projets de construction a ete soumis a une serie d’endomagements considerables, allant du pillage et bombardement directes jusqu’ aux degats extensifs par incendie. Le proprietaire et l’entrepreneur ont, tous deux, souffert des pertes considerables. Apres la liberation, les proprietaires les entrepreneurs et les consultants des projets se sont reunis pour mettre en oeuvre un plan de redemarrage de ces projets. Telle reactivation devrait etre suivie de pas specifiques. Le premier pas concerne le consultant qui doit constater l’etat du terrain pour evaluer la situation du projet concerne et pour estimer le degre d’endomagement. Il doit aussi preparer les documents de construction necessaires a la reparation de l’endomagement ainsi qu’ a la relance et la continuation du projet afin d’atteindre les objectifs initiaux. Au Koweit, le contrat le plus commun est le FIDIC; dans la clause 65.3 concernant les endomagements des travaux par des Risques Speciaux, le consultant est demande d’effectuer le paiement final a l’entrepreneur et de clore le dossier du projet. Ensuite, le proprietaire, utilisant les documents du nouveau contrat, pourra negocier avec l’entrepreneur original la possibilite de reprendre le travail et terminer le projet. Ainsi, une serie de problemes potentiels lies a la mobilisation, a l’apprentissage, a la continuite de la sous-entreprise ainsi qu’a la localisation des materiaux et provisions pourront etre evites. Une etude precise est presentee pour demontrer cette approche. Si de telles negotiations n’aboutissent pas, le nouveau contrat devrait etre soumis a une ofifre.
