ABSTRACT

Hong Kong’s new airport and its associated core projects have captured the headlines in Hong Kong’s newspapers since they were first announced by Hong Kong’s Governor in 1989. However, since their inception these projects have been at the centre of a political storm between the Chinese and British Colonial governments. They have also posed new challenges to the international and local construction engineering firms. For example, the Hong Kong Government has adopted special requirements into its contracts that attempt to control cost and time, i.e., by using fixed-price lump-sum contracts and by stipulating a no permissible extension of time clause. In this way the Hong Kong Government has shifted some of the risks normally borne by Government to the contractor. This paper, by describing these contractual changes, and through the use of case study material, attempts to examine how civil engineering contractors are dealing with these added risks.

Le nouvel aéroport de Hong Kong et les grands projets qui y sont associés ont fait la une des jouraux de Hong Kong depuis que Gouverneur de Hong Kong less a annonces our la première fois en 1989. Cependant, depuis le debut, ces projets on été au centre d’une tempête politique entre le gouvernement chinois et le gouvernement colonial britannique. Ils ont également posé de nouveaux défis aux sociétés de travaux publics tant internationales que locales. Par exemple, le Gouvernement de Hong Kong a imposé des conditions spéciales dans ses contrats qui tentent de contrôler le coût et les délais, c’est à dire qu’il propose des contrats à prix ferme et définitif pour une somme globale et qui ont une clause de non prolongement des délais. De cette manière le Gouvernement de Hong Kong a passé certains des risques normalement à la charge du Gouvernement aux entrepreneurs. Ce rapport, en décrivant ces de matériaux d’études de cas, s’efforce d’examiner cooment les entreprises de travaux publics font faces à ces risques supplémentaires.