ABSTRACT

Diplomacy is evolving at a much faster rate today than in the first 70 years of the previous century and diplomats and their foreign ministries have been forced to communicate more with publics at home and abroad. At the heart of this reboot, arguably, is a reconsideration of the value of public diplomacy and nation-branding within diplomatic practice, leading to questions about whether there is convergence of public diplomacy and nation-branding practices in support of international policy goals. The article first examines public diplomacy and nation-branding as concepts and fields of study. It then analyzes the growing complementarity of public diplomacy and nation-branding in Canada's foreign policy due, in large measure, to the growth of digital platforms in international communication. The article concludes by examining how public diplomacy and nation-branding appeared to converge online in Canada's “weibo” diplomacy with China, starting in 2011.

Résumé

La diplomatie évolue à un rythme beaucoup plus rapide qu’au cours des 70 premières années du siècle précédent et les diplomates et leurs ministères des affaires étrangères ont été contraints de communiquer davantage avec les publics nationaux et étrangers. Au cœur de ce redémarrage, on peut dire que la diplomatie publique et la marque nationale sont reconsidérées dans la pratique diplomatique, ce qui amène à s’interroger sur la convergence de la diplomatie publique et des pratiques nationales pour soutenir les objectifs politiques internationaux. L'article examine d’abord la diplomatie publique et l’image de marque nationale en tant que concepts et domaines d’étude. Il analyse ensuite la complémentarité croissante de la diplomatie publique et de l’image de marque nationale dans la politique étrangère du Canada en raison, dans une large mesure, de la croissance des plateformes numériques dans la communication internationale. Le document conclut en examinant comment la diplomatie publique et l’image de marque nationale ont semblé converger en ligne dans la diplomatie « weibo » du Canada avec la Chine, à compter de 2011.