ABSTRACT

Les organisateurs de ce colloque, mes chers amis Mauro Politi et Giuseppe Nesi, m’ont prié juste au début de nos travaux de tirer quelques conclusions à l’issue des trois jours de débats. J’ai bien entendu accepté (comment aurais-je pu leur dire non?), mais à une condition: de pouvoir m’exprimer en français, langue dans laquelle je suis — bien davantage qu’en anglais — à l’aise pour “improviser”. De plus, je me sens engagé à l’instar des vrais francophones dans la defense du rôle international de cette belle langue qui constitue mon outil de travail quotidien depuis tant d’ années…