ABSTRACT

Michel Favart, l’ingénieur, s’était présenté en juin 1889 au concours de l’École Polytechnique, qu’il avait préparé pendant deux ans, à Paris. Il n’avait pas été admis. Quand il avait annoncé son échec à sa mère, Eugénie Favart, elle l’avait giflé. Cette gifle reçue et acceptée à l’âge de dix-neuf ans, avait décidé de sa