ABSTRACT

Ce n ’est que depuis l’arrivée des Arabisés que les Komo apprécient l’hygiène corporelle. Et encore les vieux et les femmes craignent-ils l’eau froide. Seuls les adolescents aiment se baigner (3).

Les indigènes raffolent de parfums. Ceux-ci, importés par les Blancs, supplantent de plus en plus ceux de fabrication indigène, que les natifs obtenaient en pilant une sorte de pierre et en y mélangeant de l’huile (4).